0 Commentaires
Le 30 octobre 2024, l'interlocutrice spéciale indépendante, Kimberly Murray, a remis son rapport final après deux ans et demi de travail Son rapport énonce les éléments d'un cadre de réparations piloté par les Autochtones pour soutenir la recherche et la récupération des enfants disparus et des sépultures anonymes. Le travail d'AWACAK est souligné: Cette initiative législative fournit des indications précieuses sur la façon dont un gouvernement provincial peut soutenir les familles par l’intermédiaire d’un organisme autochtone comme l’Association des familles Awacak, qui soutient efficacement les familles à la recherche de leurs enfants. Cependant, la loi n’est pas fondée sur la Déclaration des Nations Unies qui reconnaît les droits souverains et culturels collectifs des peuples autochtones d’accéder aux documents et à l’information institutionnels. De plus, l’initiative n’est pas dirigée par les Autochtones et manque d’indépendance par rapport au gouvernement. AWACAK tient un kiosque au Festival Innu Nikamu
à Mani Utenam. Vous pouvez rencontrer Viviane, Pierre-Paul ou Simeon pour en savoir plus. Miro Tehewin Meskano En ce jour des peuples autochtones, le vendredi 21 juin 2024, des familles atikamekws se sont rendues, certaines pour la première fois, au cimetière catholique de La Tuque où leurs enfants disparus après un séjour à l'hôpital ont été inhumés dans un lot commun. Les chefs Viviane Chilton, de Wemotaci, et Sipi Flamand, de Manawan, étaient avec nous. Dépôt du rapport troisième rapport annuel dans la communauté anicinape de Pikogan le 26 avril 20245/8/2024 Chantale Awashish, Atikamekw d'Opiciwan et employée de l'association Awacak, a offert à Awacak le tikinagen appartenant à sa mère récemment décédée en remerciement pour les recherches effectuées pour retracer son frère. Le comité de suivi de la Loi 79 a offert un tambour (teweikan) à la communauté de Pikogan. Awacak a offert des chemises au ministre Ian Lafrenière et à Richard Ejinagosi Kistabish, aîné-conseil au comité de suivi qui, ici, posent avec Françoise Ruperthouse, directrice d'Awacak ( à gauche) et Chantal Kistabish, cheffe de Pikogan ( au centre)
Awacak a aussi offert des poupées traditionnelles faites à la main à partir de pièces de cuir. |